Le rapport financier comporte deux volets : le compte d’exploitation et la trésorerie. Les comptes présentés sont arrêtés au 31 décembre 2005. Ils ont été approuvés à l’unanimité lors de l’Assemblée Générale du 21 Mars 2006.
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Le compte d’exploitation
Les recettes sont composées de deux sources : les cotisations des adhérents pour 60% et la subvention de la mairie pour 40%.
En regard, nos dépenses 2005 se décomposent de la manière suivante :
communication : 77% (lettre, correspondance, carrefour des associations)
assurance : 20 %
affiliation au COPRAE : 3%
Recettes | Dépenses | ||
---|---|---|---|
Cotisations familles | 496.00 | Lettre APCVEB | 401.60 |
Cotisations individuelles | 220.00 | Assurance | 126.00 |
Subvention Mairie | 400.00 | Boite postale | 54.69 |
Carrefour associations | 28.50 | ||
Adhésion COPRAE | 16.00 | ||
Actes colloque COPRAE | 5.00 | ||
Enveloppes, timbres, recommandés | 14.68 | ||
Total recettes | 1116.00 | Total dépenses | 646.47 |
Résultat 2005 | 469.53 |
Ce compte d’exploitation est significatif d’actions essentiellement conduites sur Balma et Toulouse, sans aquisition de matériel particulier, appel de prestation, ou engagement de frais juridiques. Notre investissement principal sur 2005 aura été le temps des membres du Conseil.
Pour mémoire, le COPRAE est la Conseil Permanent Régional des Associations d’environnement. Cette fédération nous permet d’entretenir des contacts avec d’autres associations de mêmes préoccupations, et de disposer d’informations d’intérêt régional ou national.
Un des membres du Conseil de l’APCVEB est par ailleurs suppléant du membre du COPRAE siégant à la commission de l’environnement de l’aéroport de Lasbordes.
La Trésorerie
Le résultat 2005 s’élève à 469 euros, pour une trésorerie de 3497 euros.
Avoirs 31.12.2004 | 3028.29 |
Résultat 2005 | 469.53 |
Avoirs 31.12.2005 | 3497.82 |
Cette somme peut paraître importante au regard de nos dépenses de l’année, mais reste très modestes vis à vis des frais que nous sommes à même d’engager.
Rappelons que dans les années passées nous avions entrepris des recours juridiques, effectué des déplacements sur Paris dans le cadre du Conseil National du Bruit, par exemple.
En conclusion
La situation financière de l’association est saine. Elle reste très dépendante des cotisations de ses membres, seules à même de garantir sa nécessaire indépendance.
Si la part du budget communication reste forte (la lettre annuelle en représente l’essentiel), cette dépense nous semble nécessaire pour faire connaitre notre action, même si nous nous appuyons largement aujourd’hui sur Internet pour communiquer.
N’hésitez donc pas à nous transmettre votre courriel : les échanges électroniques limitent nos dépenses sur ce poste et augmentent notre réactivité vis à vis de l’information.